Nouvelle Toyota Prius 4 : « Tu le vois que je suis écolo ? »

La Toyota Prius est LA voiture emblématique du changement de comportement des automobilistes. Première voiture de série à avoir popularisé l'hybride dès 1997, elle a connu un succès international qui ne s'est jamais démenti. La quatrième génération débarque en Europe.

Que l'on soit branché voiture écolo ou pas, tout le monde a déjà un jour entendu parler de la Prius. Ce nom est quasiment devenu synonyme d'hybride. Présente sur le marché depuis 1997, c'est surtout avec sa deuxième génération lancée en 2003 que la Prius a gagné ses lettres de noblesse. Au Japon, aux Etats-Unis, puis rapidement en Europe. En 2008, Toyota annonçait avoir écoulé plus d'un million de Prius à travers le monde. La raison d'un tel succès ? Son design ? Pas vraiment. Avoir mis en avant ses vélléités "vertes" avant tout le monde ? Oui, assurément.

La Prius 4 La Prius 4 © Toyota

Les compromis, c'est fini

Avec un moteur électrique et un petit moteur essence, la Prius affichait déjà des consommations très soft et des émissions de CO² aussi basses que possible à une époque où les bonus/malus écologiques n'existaient pas encore... et où un scandale de moteurs truqués n'était pas envisageable. Avec les années, la technologie s'est améliorée et Toyota propose une quatrième génération de Prius toujours plus efficace. Chose que l'on remarque immédiatement : son apparence. La Prius conserve la même silhouette allongée mais accentue encore un peu plus ses partis pris esthétiques. Phares avant exubérants, feux arrières comme des poignards, coffre maousse, traits futuristes... La Prius se voit de loin. Ou... d'encore plus loin. Son style est nettement clivant : on aime ou on déteste. Mais ce qui a changé, c'est qu'aujourd'hui, rouler en hybride - ou en électrique - ça se montre. C'est une fierté. « Moi monsieur, je ne pollue pas (trop) ». D'où cette volonté de faire de la nouvelle Prius un objet voyant.

Côté performances, tout roule. La Prius 4 revendique une conso mixte légèrement au-dessus de 3l/100 : sous 50 km/h, le moteur électrique offre 2 km d'autonomie. Le reste du temps, le moteur essence prend le relai. Les deux moteurs combinés fournissent 122 ch, un peu moins que la Prius 3, mais entre temps l'efficience a été optimisée. L'habitacle est encore plus spacieux et le coffre gagne 50 litres, les batteries occupant 10% de place en moins. Bien sûr, la Prius n'est pas une bête de course mais reste efficace en ville comme sur autouroute. Comptez tout de même un peu plus de 30 000€ pour rouler plus propre que le voisin.

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