Concert de la Fête des mères Orphéon de Mulhouse et Choeur d'hommes du Florival

Les musiciens de l’ Orphéon Municipal de Mulhouse sous la baguette de Maurice Kuntz invitent leurs amis du Choeur d’Hommes du Florival, dirigés par Georges Gully pour produire un concert en commun dédié à la Fête des mères. A la veille de cette fête du calendrier, les deux phalanges proposent un programme de musique légère interprété ensemble ou séparément. Ce sont des petits trésors musicaux qui s’enchaîneront, offrant une variété impressionnante de genres et de rythmes différents.

Le programme :

Les deux phalanges proposent des compositeurs traditionnels en leur empruntant les airs que tout le monde connaît sans forcément pouvoir les identifier avec certitude. Franz Lehar avec son ouverture das Land des Lächelns (le Pays du Sourire), JS Bach avec Jésus que ma joie demeure, Louis Ganne et son Père la Victoire, Verdi La Traviata, Mozart avec l’Alphabet chanté par le choeur d’hommes a capella et Schubert avec son célèbre Lied extrait du cycle Der Lindenbaum,  feront partie de cette revue d’airs populaires.

Comme souvent dans les programmes de l’Orphéon, l’Alsace ne sera pas en reste grâce à une marche alsacienne de Benjamin Edel, l’Alsace libérée et aux Sirènes de notre roi alsacien de la valse Emile Waldteufel ; mais nous pourrons également savourer des mélodies puisées dans la musique de film, comme Conquest of Paradise, La Vita è bella, la variété, avec l’incontournable chanson napolitaine Mamma de Bixio,  Eléni du Grec Demis Roussos ou encore la très populaire samba Holiday in Rio complétée par Wild cat blues à la clarinette solo de Sébastien Koenig.                                                                                                                                                                                                

Le final sera consacré à Carmen : la sélection des airs choisis d’un des opéras le plus joué dans le monde,  mettra en valeur différents solistes ainsi que le choeur d’hommes, évoquant en cette année du 150ème anniversaire de la mort de Georges Bizet, décédé l’année même de la création de son chef d’oeuvre.  

MK