Un an après ses débuts chaque mercredi à Mulhouse, le rendez-vous des jeunes actifs renouvelle sa formule : on commence à 19h par un dîner au restaurant, on enchaîne avec l’afterwork proprement dit dans un bar du centre et on termine la soirée en discothèque. A Colmar, le phénomène s’est implanté il y a peu chaque jeudi et a très vite rameuté un nombre croissant de fidèles. Il est désormais possible de se renseigner sur les lieux de rendez-vous à Mulhouse et Colmar sur notre site www.mulhousebynight.com.
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L'abécédaire des soirées
Terminé, le cliché du «lieu de perdition» fréquenté par des milliardaires et des accros aux machines à sous : les casinos sont désormais des lieux de sortie tout à fait polyvalents, que l’on fréquente tant pour jouer que pour assister à un concert, à une pièce de théâtre ou à un dîner-spectacle.
La très médiatisée tektonik n’aura-t-elle été qu’un feu de paille ? Le phénomène semble être resté cantonné à la tranche la plus jeune des clubbers, et il est rare de voir aujourd’hui quelqu’un se lancer dans une «electro dance» saccadée dans les clubs de la région. Place donc au grand n’importe quoi des chorégraphies aussi vagues que personnelles et plus ou moins convaincues, pour un résultat qui peut osciller entre le parfait ridicule et le libre défoulement suivant l’ambiance, l’état d’esprit, la motivation et le talent du danseur. Certains se plaisent d’ailleurs à retrouver le plaisir de la «choré» plus cadrée et de la danse en couple dans les clubs plus rétros...
Reconnaissons-le, que l’on soit versé dans la convivialité virtuelle ou non, le réseau Facebook est devenu quasiment incontournable pour rester connecté à ses compagnons de bringue et être toujours au courant de ce qui se passe la nuit.
Des filles pas trop habillées qui se trémoussent sur le podium, ça contribue toujours à chauffer l’ambiance dans les boîtes de nuit... Mais en 2009 on ne pense pas qu’aux mâles : les «Ladies’ nights» et shows de Chippendales aux sourires enjôleurs et aux muscles saillants sont plus que jamais un «must» pour s’amuser entre copines.
Parce que ça fait toujours plaisir de se laisser aller dans son fauteuil en profitant d’une ambiance classe et contemporaine que l’on ne trouvera pas forcément chez soi, l’attitude «lounge» reste d’actualité dans les bars branchés. On peut de plus en plus souvent se restaurer dans ces lieux de convivialité : bons petits plats, tartines ou assimilés apparaissent sur les cartes et renouvellent le concept de café-restaurant.
Light-shows de plus en plus impressionnants voire psychédéliques, rythmes tournés vers l’hypnose, clubbers toujours avides de s’évader du quotidien : trois ingrédients que les DJ’s manipulent avec doigté pour créer l’osmose extatique qui est la condition d’une soirée réussie. Tant de paramètres entrent en jeu que tous les soirs c’est un nouveau défi à relever, et qui sait comment cela va tourner...
Côté technique, les DJ’s ont pris l’habitude de jongler entre vinyls, CD et fichiers informatiques pour faire monter la sauce. Et au milieu de tout cet attirail, ils trouvent encore moyen d’avoir toujours une attention pour la salle et d’assurer comme des bêtes dans le micro. Quel talent !
Salsa, zouk, merengue, samba et autre bachata font un retour en force dans les clubs : on veut du soleil ! Tandis que le Che squatte les salles obscures, les soirées spéciales latinos, les enchaînements de rythmes chaloupés et les cours dédiés fleurissent. Une alternative sympathique, dépaysante et complémentaire à la rigueur des rythmes électroniques.
Balancer du Guru Josh, du Big Ali ou du Shalya (pour ne citer que le top 3 des clubs) est le plus sûr moyen de faire hurler la foule massée sur le dancefloor... Un rythme electro-house bien tapageur + une accroche mélodique bien hypnotique = la recette gagnante pour un maximum d’efficacité !
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