Crush

Cirque aérien et acrobatique !
Des histoires d’amours renversantes qui font disparaître les codes genrés ! 

Iels sont 4. 
Au plateau, sur la piste, iels se prêtent à des histoires d’amour renversantes au cadre aérien. Marie, Lili, Matias et Serena sont à la recherche de l’être qui est sa moitié. Entre voltiges et portés vertigineux, iels font et défont les duos, au gré des combinaisons possibles. À mains nues, au corps à corps, au sol et dans les airs, iels font résonner les notions de désirs, d’attachement et de séparation.

Ni dans la provocation ou la revendication, ces acrobates-là font partie de cette génération qui veut plus de liberté et de singularisme, une volonté d’être soi-même, et surtout, bien dans sa peau.

Iels se plaisent à faire disparaître les codes genrés et à renverser les inégalités homme / femme... Ni fille, ni garçon iels refusent que les autres les définissent, laissant espérer des lendemains moins stéréotypés.

Épris par le désir de trouver leur autre moitié, comme dans ces mythes de l’amour romantique, qui nourrit encore aujourd’hui nos imaginaires, les CRUSHS s'enchaînent tour à tour réels, virtuels, mais singuliers.

L’amour est mouvant, parfois mouvementé, mais un mouvement vers soi et vers l’autre. Qu’il soit romantique, sentimental, affectif, physique, chimique ou juste un crush. L’amour est provoqué par LA RENCONTRE, la surprise ! Quelque chose qui n’était pas prévu, ni programmé, ni attendu : comme un coup de foudre...

Voilà des siècles que le mythe de l’amour romantique caracole dans l’inconscient collectif. Incrustée au coeur des esprits à coup de clichés véhiculés dès la plus tendre enfance, l’effigie du couple hétéronormé modèle l’imaginaire amoureux. S’émancipant des figures imposées, iels s’emparent des jeux de l’amour et du désir, dans un spectacle de haute voltige.

« Et pour parler de ces diverses formes et façons de s’aimer, j’ai tissé un parallèle entre le DUO dans le Cirque et le « couple » qu’iels forment, cette relation intense entre voltigeur.euse et porteur.euse qui les amène à s’approprier l’un.e l’autre. Un jeu où les corps s’élancent, se suspendent, se rattrapent, s’étreignent, chutent et s’aiment »
André Mandarino 

* iel / iels = il + elle. Pronom personnel non genré.