Le spectacle de Que Ma Joie Demeure à Noisiel

Que Ma Joie Demeure, un spectacle à voir à Paris (La Ferme du Buisson Noisiel), le 10 janvier 2026. Toutes les informations pratiques (tarifs, billetterie, plan de salle) pour ce spectacle sont à retrouver sur cette page. Réservez dès maintenant vos places pour assister à ce spectacle à Paris !

Le spectacle de Que Ma Joie Demeure à Paris (Noisiel) en 2026

Que Ma Joie Demeure en spectacle à Noisiel samedi 10 Janvier 2026 à 20h30. Ce spectacle aura lieu dans une salle bien connue dans la région : La Ferme du Buisson - Noisiel, un lieu qui accueille régulièrement des spectacles comme celui de Que Ma Joie Demeure.

Que Ma Joie Demeure est une compagnie de spectacle reconnue pour son approche innovante et immersive dans le domaine des arts de la scène. Basée en France, elle intègre des éléments de théâtre, de musique, et de danse pour offrir des performances captivantes qui séduisent un large public. Les spectacles de Que Ma Joie Demeure sont réputés pour leur créativité et leur capacité à toucher les spectateurs, grâce à des récits puissants et des mises en scène artistiquement soignées. La compagnie se distingue par sa capacité à intégrer des technologies modernes pour enrichir l'expérience scénique, tout en restant fidèle à une approche humaniste et poétique. En plaçant l'émotion et l'engagement au cœur de son œuvre, Que Ma Joie Demeure continue de captiver et d'inspirer à chaque nouvelle production.

D’autres dates sont au programme de la tournée de Que Ma Joie Demeure, découvrez l’ensemble des représentations du spectacle de Que Ma Joie Demeure en 2026 sur notre page dédiée.

Que Ma Joie Demeure

Présenté par la Ferme du Buisson - Noisiel (Lic-31882685600011)

Un moment suspendu où danse baroque et musique de Bach forment la partition d’une grande fête des sens.

Béatrice Massin, grande figure de la danse baroque, redonne vie à son spectacle Que ma joie demeure, créé en 2002. Sur la musique de Bach, les danseur·euses tracent des lignes d’une grâce éclatante.

Le sol rouge devient instrument : glissés, tombés, frottés y résonnent, donnant à entendre la danse. Parfois en silence, parfois en fusion avec la musique, les corps dialoguent avec elle, la prolongent ou la précèdent. Sobres, les costumes révèlent les mouvements. La chorégraphie, pensée comme une partition, mêle unisson, canon, fugue, dans une architecture claire et polyphonique.

Béatrice Massin s’empare du langage baroque pour en déployer l’esprit dans une écriture résolument contemporaine. Que ma joie demeure est une fête des sens, un moment suspendu où danse et musique ne font plus qu’un.