Chaque mois, nous venons à votre rencontre, acteur·rice·s locaux·ales de la communication et de l’événementiel, pour échanger sur votre parcours, votre vision du secteur et vos actions.
Pour ce troisième rendez-vous, nous avons rendu visite à Vincent Jeannerat et Éric Kuenzi, les créateurs de l’East-Park, parc aquatique situé à Bartenheim ou vous pourrez découvrir le téléski nautique (wakeboard, ski, kneeboard), l’aquapark et ses jeux gonflables, le stand up paddle pour une balade sur l’eau ou encore un sentier pédagogique.
L’occasion pour eux de revenir sur leurs parcours, la création de leur projet, les nouveautés de la saison et leur collaboration avec le JDS. C’est parti !
La lecture du JDS nous procure toujours un sentiment de bonheur ou de réconfort, dans le sens où lorsqu’on ouvre le magazine on va se réjouir de trouver un évènement ou une fête à mettre dans son agenda. Et puis, on peut le trouver partout !
Vincent et Éric, et merci d’avoir accepté cette interview pour le Club des Annonceurs by JDS. Pourriez-vous vous présenter, nous parler de votre parcours et de East Park ?
Vincent : J’ai 37 ans, je suis originaire de Hégenheim, j’ai effectué une formation d’ingénieur et je suis le président de Go Bigger qui dirige East Park depuis l’année dernière. East Park, c’était un projet de très longue durée, nous avons mis 12 ans à le planifier, 4 mois pour le réaliser et on est maintenant dans notre deuxième saison.
Éric : Ressortissant Suisse, j’ai 50 ans et je suis avocat d’affaires spécialisé dans les startups. Je suis cofondateur avec Vincent du East Park et directeur général.
Vincent : Ici, au East Park nous avons plusieurs activités phares. La première, c’est le téléski nautique. C’est un site ou l’on peut faire du wakeboard, du ski nautique et du kneeboard. Il s’agit d’un câble de 686 mètres de long, entraîné par un moteur électrique. C’est donc une activité qui est beaucoup plus écologique que le ski nautique traditionnel, en bateau. Les amateurs de téléski nautique s’amusent à tourner en rond sur un parcours de 686 mètres avec des modules, des obstacles pour pouvoir effectuer différentes figures. Des moniteurs sont également sur place, pour permettre aux débutants et aux personnes n’ayant jamais pratiqué cette activité d’apprendre les bases de cette discipline. Sur tous nos créneaux d’ouverture, nos moniteurs permettent aux clients de découvrir cette activité que nous pouvons démocratiser grâce à notre système d’installation.
Éric : Je pourrais rajouter également, qu’il s’agit tant d’une activité de loisir qu’une activité sportive. En tant qu’activité de loisir c’est vraiment ouvert à tous publics, aux jeunes, aux moins jeunes. Et en tant qu’activité sportive, il y a des compétitions internationales qui existent et des individus qui pratiquent cette discipline à haut niveau.
Vincent : Nous avons une deuxième activité phare : l’aquapark. Il s’agit d’une structure gonflable sur l’eau. Nous possédons une des plus grandes structures de France avec 4 000m2 de jeux gonflables, accessibles dès 6 ans. C’est ludique, on s’amuse, on grimpe, on saute, on plonge, on glisse c’est vraiment très amusant pour les petits comme pour les plus grands.
Éric : Nous proposons également du stand-up paddle. Cette activité se situe sur la partie plus en retrait de notre plan d’eau. Il s’agit également d’une activité très ludique, ouverte à tous, et qui offre également la possibilité de découvrir une partie plus naturelle du site. Enfin, nous avons ouvert cette année un sentier pédagogique qui permet de découvrir davantage cet aspect naturel du site. Dans cet espace, nous disposons d’un deuxième lac où nous n’effectuons pas d’activité en tant que tel, pour laisser la nature à l’état pur. Cette partie de notre site peut donc être découverte par les personnes empruntant ce sentier pédagogique.
Vincent : Et comme vous pouvez l’entendre en arrière-plan, nous avons de la musique et des beach bars présents sur le site. Nous proposons de la restauration rapide, saine et locale, des bonnes boissons, des cocktails et plusieurs fois par mois nous organisons des soirées évènementielles, des soirées musicales, avec des artistes, des dj. Les clients s’amusent, dansent, il y a beaucoup de monde et une superbe ambiance !
Quelle est votre stratégie de communication ?
Éric : Notre site aquatique est ouvert d’avril à octobre. Notre communication se fait essentiellement par le biais des réseaux sociaux, et donc davantage en été qu’en hiver. Il peut nous arriver de communiquer durant la période hivernale, mais notre objectif est de communiquer principalement avant le début et durant toute la saison, sur les réseaux sociaux et via notre site internet.
Vincent : Nous avons eu dès l’ouverture du site, une très forte communauté qui a commencé à nous suivre, à partager, à relayer nos publications et c’est le bouche-à-oreille qui nous rapporte une communauté de personnes qui viennent très régulièrement. Une communauté qui s’accroît de semaine en semaine.
Vous souvez-vous de la première fois où vous avez lu le JDS ?
Vincent : J’ai grandi à Hégenheim et comme beaucoup de personne, le JDS faisait partie de la lecture qui était dans les toilettes de chez nos parents. Donc oui, je me souviens de longues lectures du JDS lorsque j’étais petit jusqu’aujourd’hui, des lectures qui nous permettent de planifier nos sorties. Ce n’est pas très vendeur mais c’est une histoire vraie !
Aussi, la lecture du magazine me procure toujours un sentiment de bonheur ou de réconfort, dans le sens où lorsqu’on ouvre le magazine on va se réjouir de trouver un évènement ou une fête à mettre dans son agenda. Et puis, on peut le trouver partout !
Éric : Pour moi, en toute honnêteté, c’était vraiment l’année passée, peu avant l’ouverture du parc que j’ai découvert le JDS. Étant donné que je réside en Suisse, je ne connaissais pas le magazine auparavant. Je l’ai donc vraiment découvert dans le cadre de l’ouverture du parc et avec grand plaisir !
Pourquoi avoir choisi le JDS comme support de communication ?
Vincent : Tout d’abord, parce que le JDS est un incontournable, ici, en Alsace.
Éric : Étant donné que nous communiquons principalement par le web et le biais des réseaux sociaux, on voulait avoir un autre moyen de communication plus traditionnel. Il nous fallait donc un média par lequel nous pouvons toucher des gens qui ne nous suivent pas nécessairement sur les réseaux et notre choix s’est porté sur le JDS. Pour nous, le JDS est un support de communication propice pour le type d’activité que nous proposons.
Pour conclure, quelle est votre vision du succès ?
Vincent : La vision du succès ? C’est la satisfaction de notre clientèle et c’est pour moi uniquement ça. Si nous avons des clients satisfait et heureux, c’est que nous avons bien fait notre boulot. Nous avons très rarement des clients mécontents, voire pas du tout, et pour moi cette satisfaction chez nos clients prouve que nous avons réussi notre pari.
Éric : Je partage cette idée et je dirais que le succès, d’un point de vue plutôt interne, c’est de faire quelque chose qui nous fait plaisir, qui nous satisfait et pour lequel nous éprouvons du plaisir du matin au soir. Tout en sachant qu’on remplit aussi un besoin existant dans le marché et que finalement tout le monde est content.
DÉCOUVREZ D'AUTRES ANNONCEUR·EUSE·S DU JDS
Dix ans après sa création, le Carré des Associations de Mulhouse joue un rôle clé en mettant en relation les associations avec des experts et en facilitant leur visibilité. Découvrez comment cette structure dynamique et les personnes qui la font vivre contribuent à enrichir la vie associative à Mulhouse et comment elle peut vous aider à réaliser vos projets.
Directeur de l’association Museums-PASS-Musées depuis novembre 2001, rien ne prédestinait cet ancien habitant du bassin potassique de Staffelfelden à réunir plusieurs centaines de sites et musées sous une même bannière : celle du premier passeport culturel trinational en Europe.
Ancien procureur de la République et avocat général à la cour d’Appel de Colmar, Pascal SCHULTZ prend le relais de Roland SIMON à la présidence de la Ronde des Fêtes en décembre 2019… quelques mois seulement avant la crise sanitaire liée au COVID-19. Après deux années perturbées par la pandémie, les 40 ans de l’association en 2022 et une année 2023 de retour à la “normale”, ce défenseur invétéré de la culture régionale au bénévolat chevillé au corps ne manque ni de projets, ni d’enthousiasme pour développer l’institution qu’il préside et accompagner toujours plus et mieux les organisateurs de fêtes.
Née en 1990, Déborah a fait toutes ses études à Mulhouse en passant notamment par le Master MECADOC (Métiers de la Culture, des archives et du document) proposé par l’UHA. Elle commence sa carrière professionnelle en 2014 au sein du Parc de Wesserling en tant que responsable de la communication puis du développement touristique du site. Après avoir géré les relations presse France pour Europa-Park, elle rejoint l’Écomusée d’Alsace en 2019.
Issu d’une famille d’entrepreneurs, Jérôme Bigeard fonde TSE lors de son dernier stage d’école de commerce en 1998. TSE est le fruit de sa passion pour le spectacle et l’événement. À l’image des débuts d’Apple, le premier siège de l’entreprise fut la cave de la maison de sa grand-mère. Depuis, à force de travail, surmontant les difficultés comme la crise du COVID qui a durement impacté son secteur et fêtant les réussites comme le prix du public remporté en 2017 à la Fête des Lumières de Lyon, TSE a grandi petit à petit pour devenir aujourd’hui une PME de plus de 50 collaborateurs.
Né en 1986, Thomas Ress s’initie au théâtre dès l’âge de 6 ans aux Tréteaux de Haute-Alsace à Mulhouse. À 18 ans, il monte sa première compagnie amateur, les Aspir’acteurs. Après des études théâtrales à l’Université de Strasbourg, il se professionnalise avec la création de la Cie des Rives de l’Ill, implantée à Illzach. Il crée alors plusieurs dizaines de spectacles dont certains seront joués au Festival d’Avignon ou au Vingtième Théâtre à Paris. Il dirige également plusieurs festivals Reg’Art et les Fenêtres de l’Avent, avant de devenir, en 2015, directeur de l’Espace 110 – Centre Culturel d’Illzach, Tout en conservant son activité de metteur en scène, il y déploie avec l’équipe en place un nouveau projet pour la structure en tenant compte de son histoire et est à l’initiative d’un nouveau rendez-vous : la Quinzaine de la Danse, focus majeur sur la création contemporaine, dont la sixième édition aura lieu du 7 au 26 mars 2024.
Après avoir fait toutes ses classes au sein d’un hôtel de luxe bien connu des mulhousiens, il en devient le directeur général au début des années 2000. Quelques années plus tard, il ouvre avec sa femme Marie-Rose leur propre restaurant. Leur ambition ? Proposer une cuisine libanaise revisitée, innovante et pleine de saveurs. Rapidement, l’établissement devient un incontournable sur la scène mulhousienne. Aujourd’hui, Le 961 c’est aussi bien une boutique/traiteur qu’un restaurant bien connu des amateurs de cuisine libanaise.
Originaire de Bourgogne, Chrystel fait ses études à Lyon avant de partir en Angleterre pour y réaliser un Master en Marketing Management. Son diplôme en poche, elle commence sa carrière professionnelle au siège de Quick en région parisienne. Elle rejoint l’Alsace au début des années 2000 pour prendre la responsabilité du marketing et de communication au sein du Comité Régional du Tourisme d’Alsace (aujourd’hui ADT). En 2009, elle intègre le service de la communication de la Ville de Mulhouse avant d’en prendre la direction en 2020.
Originaire de Bourgogne, diplômée de la double formation “études interculturelles franco-allemandes” de l’ENS LSH/Uni Freiburg/Lyon II, Anaïs est arrivée en Alsace en 2017 pour travailler au Parc du Petit Prince comme responsable du développement international. Sa mission : faire connaître le parc à thème du deuxième livre le plus traduit au monde après la Bible à nos voisins allemands et suisses. Passionnée de littérature et de langues, elle gère aujourd’hui la communication du Parc et contribue également à la création des spectacles qui y sont proposés.
Pour ce troisième entretien, nous avons interviewé Mannaïg Le Vôt, responsable de la communication de La Filature, Scène nationale de Mulhouse, quelques jours avant le lancement de la saison 23/24.
Pour ce premier entretien, nous avons échangé avec Hélène Baumann, directrice de clientèle et dirigeante de l’agence de communication mulhousienne Media Création. La dernière campagne de la Cité du Train – Patrimoine SNCF ? C’est elle et son équipe !

