Par Mike Obri
Entre deux quintes de toux et un peu de Vicks Vaporub sur le poitrail, la vie quotidienne en février, c’est assez calme. Quand on s’ennuie, c’est bien connu, on mange pour faire passer le temps. Là, on a une envie irrépressible de pain de campagne avec des tranches de Wurscht pistachée et aux olives...
Les rituels « énième dose », on les connaît désormais par cœur. - Vous êtes malade ? - Pas que je sache. - Vous risquez d’avoir mal au bras, vous êtes droitier ? - Oui. - Alors on pique le gauche ! Remontez votre manche. Pour reprendre des forces, on se fait une grosse tartine de Mettwurscht en rentrant.
La raclette, c’est le plat cancérigène par excellence, capable de vous supprimer plusieurs années d’espérance de vie en quelques poêlons bien gratinés. Mais un hiver sans raclette est comme une journée sans soleil. C’est invivable.
Et on ne vous parle pas de tennis ! La raquette à neige : c’est l’idéal pour en prendre plein la vue sur les sommets vosgiens et profiter de la neige, même si on ne sait pas skier. Le meilleur moment reste, cela dit, la pause casse-croûte - avec un bon sandwich de Schmerwurscht.
© DR Une chouette sortie raquettes !
En règle générale, le JDS vous intime de sortir de chez vous : c’est notre projeeeeeet ! Mais les soirs d’hiver, qu’il est bon de se laisser dépérir sous son plaid, à enchaîner les séries niaises jusqu’à ce que Netflix vous demande si vous « êtes sûr de vouloir continuer ». Évidemment, du bledder sack ! Et avec une bonne tartine de Lawerwurscht, c’est le paradis.
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